Fin novembre, Vincent Martin, président du Groupe Roger Martin, a reçu la légion d’Honneur. Un moment de fierté pour ce chef d’entreprise mais aussi pour tout le Groupe.
Figure emblématique régionale des travaux Publics, et véritable passionné par ce métier, Vincent Martin a reçu une belle décoration pour le travail accompli. Et, c’est à Dijon, sa ville natale, que François Rebsamen, ancien Ministre et Président de Dijon Métropole, lui a remis la distinction de Chevalier de la Légion d’honneur. Vincent Martin n’a pas manqué de dédier cette récompense à ses parents, son épouse et ses enfants mais aussi de tous ceux qui oeuvrent au sein de l’entreprise. « Je reçois cette décoration au nom d’une famille, d’une entreprise, d’une équipe, d’un territoire. »
En effet, cette reconnaissance honore son parcours, mais aussi l’histoire familiale du Groupe, ses valeurs fondatrices et l’engagement des 2 650 collaborateurs. Engagé au-delà de l’entreprise Vincent Martin est animé par la transmission, la passion, l’esprit collectif et la volonté profonde de contribuer au progrès des territoires. Un esprit collectif qu’il aime à rappeler avec l’une de ses citations préférées : « Seul on va plus vite, ensemble on va plus loin.«

C’est papa qui m’a transmis la passion des travaux publics, le respect du travail bien fait, le sens des responsabilités et cette conviction que rien ne se construit seul
L’ancien ministre soulignait lors de la cérémonie : « Le Groupe Roger Martin est, sans conteste, le couteau suisse des collectivités. Il s’impose comme un partenaire fidèle qui accompagne notre territoire dans son développement. », poursuit François Rebsamen. « Notre métropole et notre ville peuvent, en effet, compter sur votre expertise exceptionnelle, votre expérience, votre capacité d’innovation pour mener à bien les plus grandes transformations. (… ) Vous êtes de tous les grands projets qui ont donné à notre ville, à notre territoire, le visage qu’il est aujourd’hui fier d’afficher.» Et, « Ce n’est donc pas un hasard si vous êtes de ceux que l’on nomme bâtisseurs », conclut-il






























