Stockage, rétention et régulation des eaux pluviales, mais aussi réservoir de lutte anti-incendie, les fonctions des cuves enterrées sont multiples. Le chaudronnier français Léon Veyret propose une solution de cuve en acier anti-corrosion, étanche, durable, facile à poser dans des conditions optimales de sécurité.
Les stockages d’eau enterrés font désormais partis intégrantes des projets de construction de nouveaux bâtiments. Mais aussi de plateformes industrielles ou commerciales, autant de surfaces imperméabilisées qui empêchent l’eau de s’infiltrer naturellement. Ces principes de rétention ont donc pour fonction principale de réguler les débits d’eau avant rejet dans le milieu naturel. Mais surtout ils vient optimiser un foncier de surface de plus en plus cher.
“ Léon Veyret est un fabricant français historique de cuves pétrolières. Récemment, il a décidé d’occuper une place également sur le marché de l’eau. Où il existe une volonté de réduire les impacts parfois dévastateurs des inondations. Ceci tout en offrant une possibilité de récupérer des eaux potentiellement polluées après incendies ou autres effluents. En attaquant le marché de l’eau, nos fabrications répondent aux normes draconiennes en vigueur mais aussi apportent des garanties de résistance et de durabilité”, explique Michaël Courtial, directeur associé chez Léon Veyret, une filiale du groupe Sapiens gérée par Patrice Cheval.
Premiers chantiers concluants
L’idée d’enterrer un réservoir d’eau semble tellement logique quand elle offre une possibilité de stocker facilement de l’eau, de façon invisible et avec l’avantage de laisser la place en surface. Et en répondant aux normes sur le bâti qui imposent de compenser et de réguler les surfaces étanchées par des dispositifs de rétention…