NGE propose désormais à ses clients un liant biosourcé. Le Biostar B25 : composé à 25 % de matières premières d’origine renouvelable. Le Groupe l’a développé dans son laboratoire et le produit dans son usine de Brive-la-Gaillarde.
Le Biostar B25 peut venir en remplacement d’un bitume traditionnel sans contrainte sur les chantiers. Car, on peut produire ces enrobés au Biostar B25 quel que soit le taux de recyclage et avec tout type d’usine d’enrobage. Ainsi, ce liant peut remplacer les bitumes classiques de grade 35/50 ou 50/70 sans adaptation particulière. « Nous avons réussi le pari de formuler un liant biosourcé pouvant être fabriqué dans nos usines NGE et facile d’utilisation. Biostar B25 a été pensé pour remplacer un bitume routier traditionnel. Et ce, sans contrainte supplémentaire pour la fabrication des enrobés ni pour leur mise en oeuvre sur chantiers. Cela est un réel avantage et argument de poids pour inciter nos clients à franchir le pas. » explique Jérôme Muller, responsable laboratoire LC2 du Groupe NGE.
Patrick Bastien, directeur régional de NGE ajoute : « Biostar B25 est un liant qui se comporte comme un bitume classique. Nous voulons réellement permettre à chaque commune, chaque collectivité de s’engager dans une démarche vertueuse en proposant ce liant biosourcé accessible à tous. Il est important pour nous de pouvoir co-construire des chantiers plus responsables avec la plupart de nos clients. Un premier chantier expérimental s’est déroulé en Isère, et nous nous préparons à déployer Biostar B25 sur l’ensemble du périmètre de la région Savoie Vercors Vivarais. »
Moins polluant et moins coûteux
Principal avantage du Biostar B25: il diminue l’impact sur l’environnement. Par ailleurs, il permet de réaliser des économies d’énergie et une baisse des émissions de fumées. En effet, sa production est réalisée avec un abaissement de la température de 25°C. A l’heure où les coûts énergétiques flambent, voilà un autre avantage et non des moindres.
Pour ce nouveau liant, NGE s’engage sur la teneur de 25 % de matières premières biosourcées. Ce que l’on peut facilement vérifier par la méthode de datation du carbone 14. Il s’inscrit dans la volonté du groupe de réduire son empreinte carbone.