C’est au centre de l’ECIR Formation (Ecole de la Construction des infrastructures et des Réseaux) à Mallemort (13) que la 4ème étape du Dig Tour 2022 prend place les 29 juin et 1er juillet.
L’école créée il y a 50 ans propose de la formation continue à la conduite et la réparation d’engins, soit en courte durée pour passer différents CACES pour les matériels de terrassement et de levage, ponts roulants, nacelles, grues à tour ou mobiles. Soit sur un ou deux ans dans le cadre de l’obtention d’un titre professionnel validant des formations adaptées aux salariés d’entreprise ou aux jeunes en apprentissage.
“Le Dig Tour sera une bonne plateforme pour communiquer sur l’évolution de la réglementation qui distingue désormais 2 titres de conduite. Les grands terrassements d’une part pour les bulls, niveleuses, tombereaux, compacteurs de sols, pelles de plus de 30 t. Et les chantiers urbains, avec les pelles compactes, les chargeuses articulées, motobasculeurs, pelles sur pneus et Mecalac”, assure Jean-François Chabaud, le directeur de l’ECIR.
Des matériels uniques
Propre à l’ECIR et unique sur le Sud de la France, des formations dédiées au pilotage de grues à tour avec sur site à disposition des candidats, une GMA (à montage automatisée), une GME (à montage par éléments) de 30 m de flèche, avec 3 configurations possibles d’apprentissage, sur rails, à flèche relevable et pilotage par télécommande ou en cabine. Également présentes sur le centre, une grue automotrice à flèche télescopique ainsi qu’une grue à flèche treillis.
Enfin, et pas des moindres puisque historiques, des formations sur la pose des réseaux secs, en souterrain et en aérien, BT, HT et fibre optique. “On forme à peu près 3 000 stagiaires par an, ce qui représente 130 000 h/an d’heures de formation dispensées. Pour ce faire, l’école emploie 35 formateurs salariés ou vacataires. La présence du Dig Tour sera donc une belle opportunité pour resserrer nos liens avec les entreprises de TP de la région du Sud-Est qui représentent 75 % des salariés formés par l’ECIR chaque année”, conclut Jean-François Chabaud
